vendredi 9 mars 2012

la pauvreté amère (3)


Me tenir compagnie
Rien ne m’oblige à mener la charité à l’intérieur des mosquées  c’est la seule manière  de pouvoir  en sortir et d’empocher à quoi manger.
 Du lait, du pain, du pois chiche grillé et de l’eau sont largement suffisant pour résister  la journée ; aussi dans une grande ville comme Casablanca, que les impitoyables rien qu’un bref voie en arabe qui se lançait récemment derrière toi  (sir fhalek) signifie va-t-on , parfois même je reçois des coups de pieds sans savoir pourquoi , à cet âge je suis devenu un surplus dans mon pays , pauvre pays, hélas ; d’un quartier à l’autre j’ai appris à vagabonder, loin de mes parents j’avais même oublié mes collègues de la classe ,mes voisins du quartier, je m’explosai, je quitte ma ville en direction d’autres ville

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Keep me company
Nothing forces me to pursue charity inside the mosque is the only way to get out and pocket to eat.
  Milk, bread, roasted chickpeas and water are more than enough to withstand the day, so in a big city like Casablanca, the ruthless way in just a short Arab who recently launched behind you (Sir fhalek) means going on, sometimes I get kicked without knowing why, at that age I became a surplus in my country, poor country, alas, from one neighborhood to another I learned to wander away from my parents I had even forgotten my colleagues in the class, my neighbors in the neighborhood, I explosai, I leave my cityto other city.
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