dimanche 18 mars 2012

la légende couscous

Yassine mon fils gourmand , devant le couscous servi par le lait caillé (lben)

COUSCOUS MAROCAIN

couscous aux légumes le plat préférés par les marocains adorés par les européens
mmmmmmmm!!!!!!! trés délicieux

samedi 10 mars 2012

la consommation du poisson chez les marocains

la lotte le poisson le moins consommé chez les marocains exposé sur le rayon poissonnerie de notre supermarchés

burbot fish consumed the least among Moroccan presentation on our supermarket fish counter

vendredi 9 mars 2012

la pauvreté amère (3)


Me tenir compagnie
Rien ne m’oblige à mener la charité à l’intérieur des mosquées  c’est la seule manière  de pouvoir  en sortir et d’empocher à quoi manger.
 Du lait, du pain, du pois chiche grillé et de l’eau sont largement suffisant pour résister  la journée ; aussi dans une grande ville comme Casablanca, que les impitoyables rien qu’un bref voie en arabe qui se lançait récemment derrière toi  (sir fhalek) signifie va-t-on , parfois même je reçois des coups de pieds sans savoir pourquoi , à cet âge je suis devenu un surplus dans mon pays , pauvre pays, hélas ; d’un quartier à l’autre j’ai appris à vagabonder, loin de mes parents j’avais même oublié mes collègues de la classe ,mes voisins du quartier, je m’explosai, je quitte ma ville en direction d’autres ville

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Keep me company
Nothing forces me to pursue charity inside the mosque is the only way to get out and pocket to eat.
  Milk, bread, roasted chickpeas and water are more than enough to withstand the day, so in a big city like Casablanca, the ruthless way in just a short Arab who recently launched behind you (Sir fhalek) means going on, sometimes I get kicked without knowing why, at that age I became a surplus in my country, poor country, alas, from one neighborhood to another I learned to wander away from my parents I had even forgotten my colleagues in the class, my neighbors in the neighborhood, I explosai, I leave my cityto other city.
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lundi 5 mars 2012

la pauvreté amère(2)




 La pauvreté amère (2)
Me tenir compagnie
Ma situation s’est aggravée est devenue dérisoire , je ne supporte plus ,des milliers et même âge comme moi se baladaient dans les  rues, l’école je n’y vais pas , mon père me délaisse , ma mère me cherchait , pleurer , toutes les portes se sont en fermées , je hais la vie , je ne reviendrais jamais d’où je venais , je suis mes pieds nulle part où j’irais ,désorienter , je meurs de faim , des idées me passaient à la tête, me poussaient peut être à l’envie.
Envie de voler, je suis dans l’impact, je passais oisivement mon temps  surtout à ne pas réfléchir.

Bitter poverty (2)
Keep me company
My situation has worsened became ridiculous, I cannot stand, and thousands of the same age as me were walking in the streets, in school I do not go, my father forsake me, my mother was looking for me, crying, all doors are closed, I hate life, I would never return from whence I came, I am my feet I would go nowhere, confusing, I'm starving, ideas crossed my head, I can be pushed to envy.
Want to steal, I'm in the impact, I spent my time idly especially not to think.


la pauvreté amère



ME TENIR COMPAGNIE

J’habitais  dans un quartier pauvre, mon père faisait du bricole, il gagnait 50 dollars/mois ; ma mère  travaillait chez une famille étrangère ; nous raméne  de belles  nourritures  , nous ramène de quoi  manger, du fromage coupé, flacon de confiture à moitié rempli, des demis petits pains au chocolats des gadgets , des jouets , parfois même  des meubles abimés .  La pauvreté de toutes ses couleurs  nous compagne, nous conduit de pire en pire, j’étais écolier  parmi les meilleurs éléments de la classe et pourtant je n’ai pas les moyens que mes collègues en avaient, mes circonstances  me poussaient à fuir de la réalité, il m’est arrivé un jour que je venais perdre mes chaussures, rien ne m’empêche d’aller à l’école à pieds -nus  tout le monde se moquait de moi , la directrice de l’école m’avait renvoyé , à vrai dire je me sentais marginalisé ,j’avais dix ans , je pensais à quitter l’école ,du moment que personne ne pense à moi , c’est ici que je commençais à goûter  une pauvreté amère .


Bitter poverty
KEEP ME COMPANY

I lived in a poor neighborhood, my father was doing odd jobs, he earned $ 50 / month, my mother worked in a foreign family, brings us some nice food, brings us to eat, cut the cheese, half bottle of jam filled, running backs buns chocolate gadgets, toys, evenfurniture damaged. Poverty in all its colors we partner, we are led from bad to worse, I was a schoolboy among the best in class and yet I have not the means that my colleagues had, my circumstances were pushing me to flee the actually, I happened one day that I had lost my shoes, nothing prevents me from going to school barefoot everyone was laughing at me, the school principal had sent me in truth I felt marginalized, I was ten, I thought to leave school, as long as nobody thinks of me, this is where I began to taste a bitter poverty.

mercredi 29 février 2012

c'est moi pendant mes activités au travail d'un supermarchés au rayon poissonnerie

vendredi 24 février 2012

ange et innocence


L’innocence d’un nouveau-né a découvert une réalité que personne ne peut l’atteindre, ni savant, ni sage, rien qu’un ange qui escorta l’être vivant, le conduit, le surveilla avec délicatesse ; un tombeau, un tsunami, une bombe atomique, une Église, une mosquée, une bible, un coran, une tache de sang, se sont repiqués juste droit devant le nouveau-né  ce dernier a ouvert ses yeux étincelants  ,il accueilli ces objets à bras ouvert , il ferma ses yeux ,il se mit à pleurer , il bégaya en disant tache de sang , l’ange trembla de peur il chuchota aux oreilles du bébé ça va disparaitre , revenez choisir, dit l’ange, le bébé hésita et relança tombeau… tombeau , l’ange répondit «  Wa yab9a wajhou rabbika doul jalali walikram » ça veut dire que dieu resta le seul au monde ; le bébé relança Eglise, bible, mosquée, coran ; l’ange dit  ce sont  les maisons de dieu et paroles sacrées , le bébé se tait , s’est endormit  l’ange s’agenouilla et pria en disant « hamdan lillah » ça veut dire merci à dieu. La fin du monde est encore loin.

mercredi 8 février 2012

jeudi 2 février 2012

mon petit fils appelé achraf âgé de 11ans fait le clown.
une fête de mariage l'un de mes amis selon nos coutumes et traditions ; on remonte la mariée sur un socle en bois appelé en arabe " ammaria" c'est une admiration en fait pour la femme marocaine.

mercredi 1 février 2012

c moi dans la ville d'frane (maroc) région situé au moyen atlas la ou se trouve l'université al akhawayn

mardi 31 janvier 2012

lundi 30 janvier 2012

ma foi ,mon entourage

j’évoquais toute fois mes souvenirs en terme relationnels sociales et culturels , chez nous notre entourage et quasi accroché au religion , notre religion est l'islam que tous les gens du quartier en un profond sentiment on doit respecter notre moeurs qui reflètent notre religion , on faisait donc cinq fois la prière par jour, on respecte les horaires des "hadiths" ce sont notamment des paroles du prophète Mahomet d'ou nous entendons des conseils à respecter provenant de notre religion il y'avait donc un énorme respect en sens .
j'essaie donc de vous faire parvenir un court message sur notre religion ainsi chaque fois je vous relance des notions pour comprendre vraiment ce que c'est l'islam.